Troisième des quatre pamphlets de Louis Ferdinand Céline, après Mea culpa en 1936 et Bagatelles pour un massacre en 1937, L’école des cadavres est paru en 1938. Il n’a jamais été réédité, pour cause d’antisémitisme aggravé et de provocation à la haine raciale « Les Démocraties ne sont que les dominions de la Tintamarrerie ahurissante juive,Lire la suite « Louis Ferdinand Céline: l’école des cadavres »
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Louis Ferdinand Céline: Les beaux draps
Dans Les beaux draps, l’un des trois pamphlets qu’il faudra bien un jour rééditer, il annonce le Smic, les trente-cinq heures et la civilisation du dessin animé… Bien sûr que Céline est impardonnable. Mais le monde est mal fait : il est rare que les braves types chaleureux, sexuellement équilibrés et moralement irréprochables, fassent deLire la suite « Louis Ferdinand Céline: Les beaux draps »
Louis Ferdinand Céline: voyage au bout de la nuit
Lorsque Ferdinand Bardamu s’engage dans l’armée, il côtoie la Grande Guerre et ses horreurs. Il y perd ses illusions, en même temps que son innocence et son héroïsme. En Afrique, où le colonialisme lui montre une autre forme d’atrocité, Bardamu s’insurge de cette exploitation de l’homme par l’homme, plus terrible encore que la guerre. EnLire la suite « Louis Ferdinand Céline: voyage au bout de la nuit »
Louis Ferdinand Céline: Bagatelles pour un massacre
Bagatelles pour un massacre » est le deuxième pamphlet de Louis-Ferdinand Céline qu’il rédige durant le deuxième semestre de l’année 1937.Robert Denoël publie « Bagatelles pour un massacre » en décembre 1937 (il sera vendu à 75 000 exemplaires), mais en mai 1939, le décret Marchandeau oblige l’éditeur à retirer de la vente les deux pamphlets « L’École desLire la suite « Louis Ferdinand Céline: Bagatelles pour un massacre »
Louis Ferdinand Céline: mort à crédit
Le roman raconte l’enfance de Ferdinand, fils de petits commerçants à Paris. Il se rappelle ses jeunes années dans un milieu petit bourgeois.
Louis Ferdinand Céline: mea culpa
Mea Culpa est le premier des quatre pamphlets de l’écrivain. Céline attribue les dérives du communisme à la nature humaine, foncièrement égoïste. Il brosse de celle-ci un tableau très sombre : l’homme ne changera pas, et par conséquent son sort ne s’améliorera jamais. Aussi l’auteur considère-t-il toute vision idéalisée de l’homme et toute spéculation optimiste sur l’avenir comme desLire la suite « Louis Ferdinand Céline: mea culpa »
Louis Ferdinand Céline: rigodon
Céline relate son périple à travers l’Allemagne à la fin de la Seconde Guerre mondiale, accompagné de Robert Le Vigan, de sa femme et de son chat Bébert. Céline est mort le jour où il a envoyé Rigodon à son éditeur et il faudra attendre quelques années avant sa sortie en librairie. Rigodon c’est laLire la suite « Louis Ferdinand Céline: rigodon »
Louis Ferdinand Céline: nord
Céline au milieu de l’Allemagne en flammes. Avec ces compagnons d’infortune, -sa femme Lili, l’acteur Le Vigan, et le chat Bébert -, le voici à Baden-Baden dans un étrange palace ou le caviar, la bouillabaisse et le champagne compte plus que les bombardements, puis dans Berlin en ruines, et enfin à Zornhof dans une immenseLire la suite « Louis Ferdinand Céline: nord »
Louis Ferdinand Céline: d’un château l’autre
En 1932, avec le Voyage au bout de la nuit, Louis-Ferdinand Céline s’imposait d’emblée comme un des grands novateurs de notre temps. Le Voyage était traduit dans le monde entier et de nombreux écrivains ont reconnu ce qu’ils devaient à Céline, de Henry Miller à Marcel Aymé, de Sartre à Jacques Perret, de Simenon àLire la suite « Louis Ferdinand Céline: d’un château l’autre »